À l’initiative d’Équiterre, ce vaste réseau compte plus de 100 fermes avec 600 points de livraison dans 14 régions du Québec. Ailleurs au Canada, les paniers de légumes biologiques existent à Ottawa en Ontario et au Nouveau-Brunswick.

Comme la saison estivale 2017 arrive à grand pas, voici quelques avantages de devenir partenaire d’une ferme.

Variété et découverte grâce aux paniers de légumes biologiques

Chaque semaine une variété de 6 à 12 de légumes est proposée. On trouvera dans son panier des spécimens familiers comme les carottes, oignons, tomates, pommes de terre. De plus, on pourra être surpris régulièrement avec des légumes moins connus comme le panais, la livèche, le radis melon ou diverses salades. Ce sera une belle occasion de se familiariser avec de nouveaux légumes et d’essayer de nouvelles recettes pour les savourer.

Les fermiers de famille se feront un plaisir de donner des conseils aux partenaires pour conserver et cuisiner une gamme variée de légumes. Équiterre offre aussi en ligne des idées savoureuses pour les apprêter de multiples façons selon ses goûts.

De plus, à chaque livraison il est possible de choisir les légumes que l’on préfère et de les échanger avec ceux que l’on apprécie moins. Une formule souple qui évite le gaspillage.

Flexibilité et accessibilité pour s’offrir des légumes biologiques

Petit, moyen, grand, chaque semaine ou toutes les deux semaines, la taille et la fréquence de livraison du panier sont flexibles. Cela permet de répondre aux divers appétits et budgets d’une famille, d’un couple ou d’amis qui partagent leurs légumes. Il est aussi possible de décaler la livraison de son panier lors de ses vacances.

La veille sur les prix démontre que depuis 10 ans, les légumes biologiques offerts dans les paniers coûtent moins chers que ceux vendus dans le commerce. Par ailleurs, plusieurs fermes offrent aux partenaires des facilités de paiement en versements étalés au fil de la saison.

Des relations privilégiées avec de petits producteurs près de chez soi

Au fil des livraisons, on apprend à connaître son fermier de famille et on développe de riches échanges autant alimentaires qu’humains. On peut même aller visiter la ferme. C’est une façon nourrissante d’encourager un petit producteur et de soutenir le système alimentaire durable.

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